Parfum emblématique de la maison Cartier, La Panthère s’offre à vous en édition limitée. Ces deux nouveaux flacons vont vous faire pâlir d’envie avec leur décor solaire et multiples facettes d’un jus à la fois floral et fauve.
Personnellement, j’ai toujours été fascinée par ce félin qu’est la Panthère. Une de mes amies en avait une que son père lui avait ramenée « en valise diplomatique »… Tel un gros chat, elle adorait jouer et faire des gros câlins. Jamais elle n’a eu un caractère agressif. Savez-vous que le mot « panthère » désigne les félins de grande taille.
D’ailleurs, nombreux sont ceux qui confondent La Panthère et le Léopard. Beaucoup de personnes croient que le Léopard est le mâle de La Panthère. En fait, il s’agit du même félin. Sauf que quand Le Léopard est noir, on l’appelle Panthère noire. Quand il est de couleur marron tacheté de noir, il devient Léopard. Revenons donc à ce magnifique parfum appelé La Panthère…
La Panthère de Cartier
Dans ce jus, vous reconnaîtrez le gardénia d’où l’animalité surgit, révélée par l’architecture d’un musc tout à la fois animal et moléculaire, charnel et abstrait. Le fauve et la fleur, ensemble réunis incarnr La Panthère, cette allégorie du féminin Cartier.
Editions limitées disponibles en formats 75ml (123,50 €*) & 25ml (64,50 €*).
* Prix TTC recommandés
Une création devenue une succès story
En 2014, Mathilde Laurent, parfumeur de la Maison Cartier, crée La Panthère. Ce parfum s’impose comme un classique en osant revisiter le mythique chypre avec un accord floral fauve inédit. Mathilde fait mouche avec ce jus qui fait fureur et dont les femmes raffolent. Avec cette création, elle s’inscrit dans la vision contemporaine et libre du style olfactif Cartier : fuir l’ennui du consensus, provoquer des chocs émotionnels. La Panthère de Cartier devient la figure emblématique de la Maison, de son mythe en parfumerie et d’un parfumeur qui conçoit le parfum comme un langage. Traduction olfactive de la panthère joaillière, la création de Mathilde Laurent, au travers de l’excellence, rend hommage à la panthère, à sa félinité, son agilité et sa sensualité.
Bijou et parfum : une alliance magnétique
Quand le joaillier restitue le mouvement de la panthère, le parfumeur en reconstitue l’aura et le velours. Le magnétisme est identique. Cinq ans après sa création, l’eau de parfum La Panthère est devenue une référence, lumineuse et chic. Elle fut récompensée en 2015 par le prix de l’Olfactorama. Maintenant, elle fait partie d’une collection avec l’Eau de parfum (2014) et l’Eau de toilette (2018).
Parfum La Panthère
Floral fauve, l’eau de parfum La Panthère est née de la rencontre d’un gardénia pur et réaliste avec des notes sensuelles de musc et de chypre.
Pourquoi ce nom ?
La Panthère est l’emblème et l’inspiratrice de Cartier. Elle fut le marqueur de la création dès sa première apparition sous la forme d’une montre aux motifs tachetés en 1914. Le début d’un véritable lien fusionnel entre la panthère et Cartier, sous l’impulsion de Jeanne Toussaint. Visionnaire, excentrique, émancipée, elle donne corps à l’animal en 1948 l’imaginant en trois dimensions. Depuis, la panthère parcourt l’histoire de la Maison.
Le premier parfum
Dans les années quatre-vingts, elle inspirait un premier parfum à Cartier qui cristallisait son époque. Il lui fallait une transcription moderne, un sillage d’aujourd’hui, un accord inexploré, presque paradoxal : un floral fauve. Un parfum né d’une fleur fraîche, c’est ainsi que l’a voulu Mathilde Laurent. Ce parfumeur Maison, a choisi un gardénia, une fleur à l’empreinte pure, cristalline, charnelle et d’une couleur poussée à sa limite animale. La panthère y serait tapie de charme, altesse sensuelle d’un sillage solaire. Ce floral fauve comme résonne comme un piège d’amour tendu par la plus irrésistible créature.
Mathilde Laurent
Vivre c’est respirer, respirer c’est sentir. De sa culture corse, elle a reçu simultanément l’amour de la nature et le courage de se battre pour de belles causes, telle la réconciliation entre l’art et le sens de l’olfaction. Pour elle, ce territoire d’expression a perdu de sa transcendance et de sa spiritualité tant il a été assimilé historiquement à la notion d’odeur, voire à l’animalité de l’homme. L’art s’en est alors détourné, laissant à l’industrie le soin d’en être le seul guide. Mathilde Laurent s’efforce de nuancer cette prééminence en instillant à chacune de ses créations sa part de poésie, d’art et de sacré. Faire aimer l’olfaction pour tout ce qu’elle éveille et élève en soi, comme on aime accéder à l’art à travers la musique, la peinture ou la sculpture… Tous, affaire de sens.
Crédit Photos : Cartier
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