Généatique est l’outil de référence des généalogistes amateurs et associations francophones. Son ergonomie et ses nombreux outils le rende facile à utiliser. Ce logiciel se démarque de ses concurrents par l’automatisation du tracé de l’arbre généalogique. En effet, il se dessine en temps réel au fur et à mesure de la saisie des fiches. Découvrez Généatique 2020 qui va vous permettre de tout savoir sur vos ancêtres.
Avec Généatique 2020, vous disposez d’innombrables fonctions. L’assistant personnel suggère des pistes pour débusquer de nouveaux actes en lien avec la famille. Sa carte des migrations permet de suivre les déplacements à l’échelle mondiale. Des outils de statistiques et de réalisation de livres de généalogie vous facilitent la recherche. Les puissants moteurs de recherches connectés aux bases de données permettent de trouver des informations sur Internet. Avec plus de 120 modèles d’arbres, partagez le fruit de vos recherches et la synchronisation via le cloud. Généatique 2020 fonctionne sur PC, tablettes, Smartphone et navigateur Web.
Généatique 2020 le nec plus ultra des logiciels
Destiné aussi aux généalogistes et aux particuliers, ce logiciel a l’avantage d’être accessible. Les collégiens l’utilisent pour conduire leur recherches généalogiques. Conçu pour satisfaire aussi bien les néophytes que les passionnés Généatique 2020 est décliné en 3 éditions.
Généatique 2020 Classique
Une valeur sûre pour les débutants et généalogistes amateurs. Cette édition est commercialisée 25 € en téléchargement et 35 € en coffret DVD. L’édition « Classique » est le best-seller du CDIP. Il regroupe tous les outils nécessaires pour explorer facilement les origines de sa famille en remontant au fil des siècles. Vous pouvez positionner jusqu’à 5000 personnes sur l’arbre.
Généatique 2020 Classique 1500
La formule intermédiaire entre les éditions « Classique» et « Prestige ». Cette édition est commercialisée 85 € en téléchargement et 95 € en coffret DVD. Cette version est réservée aux généralistes amateurs ayant déjà bien avancé. Elle permet d’afficher sur l’arbre jusqu’à 1500 personnes.
Généatique 2020 Prestige
C’est l’outil de référence pour tous les mordus de généalogie. Proposé à 130 € en téléchargement et 140 € en coffret DVD, Généatique 2020 Prestige est un investissement judicieux pour tous ceux qui sont bien avancés dans leurs recherches et qui souhaitent s’offrir le meilleur produit du marché. Généatique 2020 Prestige ne comporte aucune limite au nombre de personnes par généalogie.
Découvrir la généalogie sans débourser un centime…
CDIP propose deux options gratuites
La première consiste à créer un compte sur « Geneatique.net». Ce portail en ligne 100 % gratuit permet de bénéficier des millions de données généalogiques, du système d’entraide et de l’interface intuitive. En second, vous pouvez opter pour Généatique 2020. Vous pourrez découvrir la version gratuite du logiciel Windows sur le site Geneatique. Les données peuvent être transférées de l’internet vers le logiciel Windows. Ainsi, vous retrouvez votre arbre à l’identique. Il ne vous reste plus qu’à profiter de tous les outils spécifiques au « fleuron de la gamme du CDIP ». Généatique 2020 découverte intègre 100% des fonctionnalités des éditions payantes. Il permet de créer une infinité d’arbres généalogiques jusqu’à 50 personnes par arbre.
Généatique 2020 points clés à retenir
L’édition 2020 regroupe les dernières innovations technologiques comme la géo-localisation des lieux d’habitation de nos aïeux. Elle comporte aussi une connexion directe depuis l’interface aux archives départementales. Son puissant moteur de recherche est couplé aux bases de données, chronogrammes, statistiques et fusion de généalogies. Il dispose d’un assistant personnel pour la suggestion de pistes de recherches… Avec ce logiciel, vous pouvez retranscrire des actes anciens et placer des repères de ligne sur l’image de l’acte ancien sans la détériorer. Idem avec des mentions marginales et signatures. Sous l’image, une zone de saisie permettra la saisie de la transcription et l’annotation de mots douteux ou illisible. Il suffit de procéder ligne par ligne, de manière à pouvoir les retrouver facilement. Une innovation sans précédent pour les personnes pratiquant la paléographie et la transcription.
A savoir :
Il est possible d’exporter les images des signatures capturées directement sur l’image de l’acte ancien. Elles seront intégrées aux fiches des personnes concernées. Ce qui permet de créer des arbres généalogiques novateurs en intégrant dans les cases de l’arbre les signatures et/ou les portraits de chacun. expert) cela peut bloquer certaines branches d’une généalogie.
Déchiffrer les actes : un enjeu majeur
Avec les progrès d’Internet et l’accès gratuit aux archives départementales en ligne, débusquer les actes et documents anciens est devenu relativement facile. En revanche, les déchiffrer n’est pas toujours une partie de plaisir. C’est pourquoi de plus en plus de Clubs associatifs proposent à leurs adhérents des ateliers de déchiffrage. La paléographie est donc « à la mode». Pour cette raison, le logiciel multiplie cette année les stratagèmes pour simplifier au maximum la lecture et faciliter la transcription.
Remonter le temps passionne les Français
Remonter le temps pour découvrir ses plus lointains ancêtres est devenu une passion française. Au point que 7 Français sur 10 consacrent aujourd’hui à la généalogie une partie de leurs loisirs et que 42% d’entre eux disposent déjà d’un arbre généalogique (Source Ipsos). L’engouement est tel qu’on ne compte plus les « cousinades» et les réunions de famille où l’on s’échange des informations sur la vie, sinon les « exploits », de tel ou tel ascendant. Pour autant, la caricature fait toujours de la généalogie une collecte froide de dates de naissance, de mariage et de décès. Alors que la réalité est toute autre.
Une enquête policière
Les passionnés disent que la généalogie s’avère être une véritable « enquête policière». Elle implique de commencer par interroger le cercle familial. Il faut aussi collecter le plus grand nombre de photos et documents susceptibles d’éclairer ses recherches*. Etre méthodique dans le classement de ces informations s’avère vitale. Apprendre où chercher pour déceler de nouveaux « indices» est important.
* actes civils, lettres, comptes-rendus notariés, papiers militaires, etc.
Un déclic vers l’âge de 45 ans
En moyenne, c’est vers 45 ans que l’on entreprend des recherches généalogiques. Cet âge n’est pas anodin car il correspond généralement à l’envie de transmettre l’histoire familiale, après la naissance d’un nouvel enfant ou le décès d’un parent. De nos jours, il n’est pas rare qu’un étudiant en histoire s’intéresse, parallèlement à ses études, à ses propres origines. Ou qu’un trentenaire ayant récupéré le fichier “Gedcom” (format universel) d’un cousin éloigné s’amuse à remonter au-delà de la Révolution française. En fonction du temps disponible, certains progressent à petits pas, alors que d’autres font des bonds de géant.
Une entraide bienvenue
Malgré un rajeunissement avéré, ce sont toujours les « jeunes retraités » qui remontent le plus loin dans le temps. Jusqu’à réaliser, au sein de clubs, d’associations ou de « cousinades». Grâce à l’entraide, des arbres généalogies dépassent les 20 mètres de long et comptent des milliers de personnes ! Il est clair que les “actifs” n’ont pas cette disponibilité. Ils mènent leurs recherches le soir et le week≠end , ou pendant les vacances. Mais, dans tous les cas, l’intérêt le plus vif, sinon la passion, sont là quel que soit l’âge ! Pour ceux qui ont besoin d’un coup de pouce pour démarrer, il existe des sites spécialisés comme www.guide-genealogie.com qui donnent les bases, le jargon et la méthodologie. Une adresse à connaître pour bien débuter.
Merci à François Ier
Si la France dispose aujourd’hui d’innombrables documents intéressants le généalogiste au sein de ses archives, c’est à François 1e qu’elle le doit. Depuis que par l’ordonnance de Villers-Cotterêts, datée d’août 1539, est né « l’état civil » en obligeant les curés à tenir des registres des baptêmes et sépultures. Qui plus est, non pas en latin mais en langue française !
Crédit Photos : Geneatique
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