Berlin, la capitale allemande et le Land qui l’entoure sont devenus des hauts-lieux du tourisme. Un tourisme qu’ils veulent désormais responsable.
Le monument le plus célèbre de Berlin est la porte de Brandebourg. Elle est le symbole des 40 ans de la division de l’Allemagne en deux Etats rivaux séparés par le « Mur de Berlin ». A l’ouest, la République fédérale d’Allemagne, à l’est la République démocratique d’Allemagne. La chute du Mur a entraîné la fin du régime communiste de l’Est. Et… un regain d’intérêt touristique pour Berlin et le Land l’encerclant : le Brandebourg. Car à Berlin. Les centres d’attractions ne manquent pas. Il y a l’île aux musées et le château de Charlottenburg. La tour de Télévision offre à son sommet un extraordinaire panorama sur la ville et ses alentours. On peut aussi choisir de découvrir le gigantesque parc de Tiergarten, le Reichstag et sa coupole de verre. Sans oublier les souterrains et abris antiatomiques qui parsèment la ville. Ce n’est pourtant pas là que nos pas vous conduiront.
Berlin mise sur le développement durable
La chute du Mur de Berlin, en 1989, a entraîné l’apparition de vastes zones abandonnées dans la partie est de la ville. Mais aussi à l’ouest et dans le Brandebourg. Que faire de ces espaces ? Comment les valoriser ? De ces questions est née la volonté de promouvoir à Berlin un tourisme « durable » et de « qualité ». Une nouvelle forme de tourisme qui offre aux visiteurs de nouvelles découvertes largement insoupçonnées. Première d’entre elles, le Spreepark, du nom de la rivière traversant la capitale fédérale. Surnommé le Disneyland est-allemand, cet ancien parc d’attractions créé dans les années 1960 accueillait plus d’un million de visiteurs par an à l’époque de sa gloire sur trente hectares. Abandonné en 2001, il était devenu un terrain de jeu pour les explorateurs urbains désireux de découvrir des lieux fermés ou interdits. Il a été racheté par la ville de Berlin.
Le projet Spreepark dans l’ancien Berlin-Est
Après la fermeture du parc, la nature a repris ses droits. Aujourd’hui, il convient de la préserver tout en créant un espace public ouvert. Elle cohabitera avec l’art et la culture à l’issue de plusieurs années de travaux. La grande roue Ferris, symbole de l’ancien, va être restaurée au-dessus d’un bassin de 3000 m². Il fournira de l’eau au parc et à ses animaux. D’ores et déjà sont programmés des concerts et des événements culturels dans les anciennes installations, comme une usine désaffectée ou les amphithéâtres. Des sculptures ayant également des fonctions pratiques ont commencé à être installées. Sans attendre la fin de la réhabilitation du parc, les Berlinois ont pris d’assaut les rives de la Sprée où ils bronzent volontiers tandis que d’autres s’adonnent aux joies du jogging dans les vastes allées du parc. Un parc que l’on peut aussi découvrir en rickshaws électriques. Développement durable oblige.
Un Spreepark intéressant
Le Spreepark était initialement le Parc culturel de Plänterwald créé en 1969 à l’occasion des vingt ans de la RDA. Très simpliste, il était alors calqué sur le modèle des champs de foire. L’une de ses attractions les plus célèbres était son carrousel avec voitures de police et chars soviétique. Outre les attractions classiques, ce parc offrait des concerts en plein air ou des soirées dansantes. Puis, boudé par les Berlinois, il a été racheté par la famille Witte. Ces forains ont rajouté de nouvelles attractions dont Les Tacots Chapeaux, La Chocolatière de Groquik ou les Dragons des Sortilèges. Ont été également installées des montagnes russes fantasques alors renommées en Spreeblitz. Elles furent rachetées à bas prix au parc français en faillite de Mirapolis, non loin de Paris. Dernière attraction, une immense statue de Gargantua et son parcours scénique, n’a jamais mise en service.
Un accès facile
Situé à côté du Treptower Park, le Spreepark est facilement atteignable depuis le centre de Berlin. Il suffit d’utiliser les lignes S8, S9, S46 et S85 du S-Bahn (l’équivalent du RER parisien). Il faut descendre à la station Plänterwald et marcher une quinzaine de minutes. On peut aussi choisir de s’y rendre et de visiter le Spreepark en rickshaw électrique. Au cours de cette balade, le chauffeur explique l’histoire du parc. Un bon moyen pour découvrir cet endroit hors du commun.
Berlin aime aussi les jardins
Quand on se promène dans Berlin, on est souvent surpris par la profusion de parcs que compte la ville. Le plus connu d’entre eux est, sans contexte, Tiergarten, à deux pas de la porte de Brandebourg. 210 hectares de verdure et de lacs comprenant également le zoo de Berlin. Vous serez surpris par la multitude de petits jardins communautaires qui parsèment la ville. On en compte plus de 150. Ils participent à l’amélioration de la qualité de vie des Berlinois et à l’adaptation de la ville au changement climatique. Lieux de détentes et de repos, ces jardins ont souvent été créés dans des espaces préservés lors d’aménagements de friches urbaines. Ils offrent également aux riverains la possibilité de cultiver des légumes et des fruits en communauté à l’image de la vie dans les nouveaux immeubles ou de cet étonnant un village « amérindien », habité à l’année, bordant la Sprée.
Une identité forte
Les jardins communautaires font partie de l’identité de Berlin. Des groupes de bénévoles créent des petits coins de verdure partout où ils le peuvent. Leur but vise à favoriser les échanges entre habitants et à les sensibiliser à l’origine et à la qualité de leur nourriture. Pour ce faire, ils y produisent des fruits et légumes bio. Outre des travaux de jardinage participatifs, ces projets sont régulièrement accompagnés de programmes culturels et de sensibilisation au recyclage et à la valorisation des « déchets ».
L’ancien aéroport mythique de Berlin est devenu un parc gigantesque
L’aéroport de Tempelhof, quasiment au cœur de Berlin, a été créé en 1923. C’est le plus ancien aéroport au monde. C’est aussi le premier à avoir été desservi par le métro (1927). Il a servi séparer les départs des arrivées. En raison de son architecture avant-gardiste, il servit de modèle à de nombreux aéroports dans le monde. Tempelhof est surtout rentré dans l’Histoire en raison du pont aérien qu’y avaient mis en place les Alliées confrontés au blocus de Berlin par les Soviétiques entre 1948 et 1949. Fermé en 2008, il est devenu en 2010 « le champ de Tempelhof »(Tempelhof Feld). En clair, un parc immense. Sur ses pistes d’atterrissage, les amateurs de jogging et de vélo se croisent. Sur leurs bords, des arbres ont poussé et des jardins communautaires ont été créés. Quant à ses pelouses, elles servent de lieu de détente aux habitants de la ville.
Berlin abrite toujours… une ferme
Un peu plus de trois millions et demi d’habitants vivent à Berlin. Ce que l’on sait moins, c’est que la capitale allemande accueille aussi en son sein des vaches, des moutons et des chevaux. Vous les verrez au Domaine Dahlem (Domäne Dalhem) qui est une ferme (depuis plus de 800 ans) et un musée rural (dans le manoir datant de 1560). Cette ferme bénéficie de champs cultivés que l’on peut parcourir. Du bétail y vit. Me musée présente des expositions interactives. Vous y apprendrez tout ce qui concerne les produits du champ à l’assiette. Cet ancien domaine seigneurial a bien failli disparaître après la Seconde Guerre mondiale sous la pression urbaine de Berlin-ouest. Sauvé grâce à la mobilisation de passionnés, il propose des événements comme des marchés nostalgiques, des festivals médiévaux et des temps de cueillettes où les locaux peuvent récolter fruits et légumes ou ramasser les pommes de terre.
Un terrain de jeu passionnant
Le domaine Dahlem possède plus de 10 000 outils et objets historiques. Il offre la possibilité de forger, de restaurer des meubles, de dorer des bijoux ou de faire de la poterie.Dans l’auberge, vous pourrez savourer des plats cuisinés avec des produits tout justes récoltés dans ses champs. Pour se rendre au musée, emprunter la ligne de métro U3 jusqu’à la station Dahlem-Dorf ou la ligne de bus 110, M11 ou X83. Accès au musée payant, accès aux espaces extérieurs libre. Ouvert tous les jours de 7 h à 22h.
En plein centre de l’ancien Berlin-Est, un modèle d’architecture durable
A deux pas d’Alexanderplatz, le cœur historique de l’ancien Berlin-Est, se trouve un ensemble d’immeubles typique du style architectural communiste, donnant au quartier de Mitte l’aspect d’une mauvaise banlieue. Sur certaines de leurs façades, d’immenses mosaïques célèbrent les réussites du régime à l’instar de celles ornant la maison des enseignants (Haus des Lehrers), premier gratte-ciel édifié à Berlin-Est entre 1961 et 1964. Ce n’était pas le cas des autres immeubles du quartier. Dès lors que faire de ces édifices longtemps squattés et où s’était développée une authentique vie communautaire? Les raser ? Les réhabiliter ? C’est cette seconde option qui a été retenue pour la Maison des statistiques édifiée en 1968 et un temps menacée de destruction. Ce vaste ensemble d’immeuble est en cour de réhabilitation. Il offrira des logements abordables dans une ville de plus en plus chère mais aussi des espaces communautaires où concerts, expositions et recycleries garderont leur place.
Une belle réhabilitation
La réhabilitation en cours de la Maison des statistiques prévoit l’affectation de 35 500 m² de surface à des usages administratifs et 9 500 m² à des projets culturels, sociaux ou éducatifs. En parallèle, trois nouveaux immeubles accueilleront 290 logements abordables propriétés de l’Etat ainsi que trois « maisons expérimentales » consacrées à l’art et l’éducation ainsi qu’à des ateliers et des formes d’habitat inclusif. Un nouvel hôtel de ville pour le quartier de Mitte verra aussi le jour. Les travaux, débutés en 2022, sont prévus pour s’achever en 2032.
Le Futurium, image l’avenir de Berlin… et du monde
A l’ouest de la rivière Sprée, le Bundestag installé dans les locaux de l’ancien Reichstag, incendié sous le régime nazi et somptueusement restauré par l’architecte anglais Norman Foster après la Réunification, gère les affaires courantes. A l’est, c’est d’avenir qu’il est question avec l’ouverture du Futurium. Un espace de réflexion sur le futur de notre monde. Un espace dont le but est de faire prendre conscience au plus grand nombre des défis qui nous attendent et comment y répondre dans le cadre d’une démarche durable et responsable. Et comme il faut donner l’exemple, ce bâtiment de 5 000 m² à faible consommation d’énergie a été doté de panneaux solaires sur le toit et d’un système de récupération des eaux de pluie.
Des espaces bien répartis
Le Futurium est divisé en trois espaces : exposition, forum et laboratoire. Dans l’exposition, différentes options pour l’avenir sont présentées, allant de l’homme à la technologie ou la nature. Au forum, c’est là que se rencontrent science, politique, affaires, culture et société civile. Enfin, le laboratoire permet de découvrir les technologies du futur et de travailler sur leurs propres inventions. Le Futurium est ouvert de 10 h à 18 h du lundi au dimanche, sauf le jeudi de 10 h à 20 h. Fermé le mardi. Son entrée est gratuite.
De Berlin au Brandebourg, les lacs de Lychen
Le Land de Berlin est enclavé dans celui de Brandebourg. Autant dire que les liens entre ces deux entités fédérales sont nombreux. Et que l’on passe rapidement de l’un à l’autre. Aussi, ne faut-il pas hésiter à prendre la route vers le nord pour découvrir le charmant village de Lychen datant du XIIIe siècle et découvrir un de la centaine de lacs qui parsèment cette région boisée. Une route qui traverse de nombreux villages où l’héritage est-allemand disparaît peu à peu. Une fois arrivé à Lychen, au carrefour de sept lacs, l’idéal pour bien appréhender cet environnement préservé est d’en découvrir un en radeau électrique. A son bord, on pourra admirer les rives verdoyantes de l’Oberpfuhl et profiter de la fraîcheur des eaux de ce lac relié aux autres par de minuscules passages. On peut aussi emprunter un des nombreux sentiers de randonnée qui parcourent la région.
Des sorties à découvrir
La société de location de canoës Treibholz propose des sorties en radeau aménagé avec toilettes, grill tables et repas. Les radeaux sont proposés avec ou sans « capitaine ». A bord, le capitaine prépare aussi les repas et explique l’histoire du lac et ses spécificités. Treibholz organise aussi des concerts sur l’eau en été et jusqu’au début de l’automne. On peut se rendre en train et en bus jusqu’à Lychen. Train Berlin – Fürstenberg ou Templin Stadt, puis bus 517 jusqu’à Lychen.
Les fantômes du sanatorium brandebourgeois de Berlin
Autant le dire de suite : le sanatorium de Berlin, que l’on dit hanté, n’est pas à Berlin mais Beelitz-Heilstätten, au sud-ouest de la ville, en Brandebourg. C’était lors de sa construction en 1898 par l’assurance maladie de la Corporation des ouvriers de Berlin, le plus grand d’Allemagne. On y traitait la tuberculose qui faisait alors, du fait de l’insalubrité et de la promiscuité, des ravages. Ce domaine gigantesque est devenu hôpital militaire lors de la Première Guerre mondiale. Il se murmure qu’Adolf Hitler y aurait été soigné en 1916. Occupé par l’Armée rouge après la seconde (où y trouve toujours des inscriptions en russe), il est resté hôpital militaire jusqu’en 1995. Confié sans succès au secteur privé, la majorité de sa soixantaine de bâtiments est aujourd’hui tombée en ruine. Des travaux de restaurations sont cependant en cours. C’est devenu un incontournable des visites de lieux insolites dans le Brandebourg.
Une évolution bienvenue
Le sanatorium était incroyablement moderne en son temps. Dans le principal bâtiment, les patients avaient leur propre chambre, donnant sur des terrasses afin de leur permettre de bénéficier de l’air frais et des bienfaits du soleil. Ils disposaient même de radios murales avec des écouteurs ! De vastes souterrains reliaient l’ensemble des bâtiments. Le sanatorium sert aussi de cadre à des prises de photos (de jour ou de nuit), des tournages de films ou de clips musicaux. Voilà pour le côté glamour. Côté sombre, deux meurtres y ont eu lieu… On peut s’y rendre facilement en prenant le train régional RE7. Comptez une heure de trajet. Les principales gares du centre de Berlin sont desservies.
Un emplacement génial
Le sanatorium est situé en pleine forêt au sud de Potsdam, ses immenses bâtiments formant un complexe de plusieurs pavillons éparpillés sur 200 hectares. Pour ce rendre compte de cette immensité, rien ne vaut une promenade dans les arbres. Un chemin au sommet de la canopée a été aménagé. 700 mètres de passerelles dominés par une tour d’observation culminant à 40 m. Baum & Zeit (arbre et temps) qui exploite le site propose des billets distincts ou combinés pour visiter les anciens bâtiments ou/et parcourir passerelle courant au-dessus des arbres. On peut manger sur place au restaurant Esszimmer. Si une partie des bâtiments de l’ancien sanatorium se visitent, d’autres se découvrent en « urbex » pour exploration urbaine. C’est-à-dire en cachette…
Pratique
Où manger ?
Berlin ne manque pas de restaurant mettant à cœur le respect de l’environnement et du développement durable. Les plats sont réalisés avec des produits bio, sains et de saison. Les tarifs sont généralement abordables.
Kater Schmaus
Situé au bord de la Sprée dans une ancienne friche industrielle, Holzmarkt (lire ci-dessous), devenue depuis trente ans un lieu culturel majeur, ce restaurant propose une cuisine simple et particulièrement goûteuse convenant également aux végétariens. Le personnel est charmant. Pour profiter à plein du site, mangez en bord de rivière.
Kater Schmaus
Biermeisterei Lemke
Situé à proximité d’Alexanderplatz, ce restaurant est en fait une brasserie qui produit elle-même sa bière sous la direction d’Oli Lemke, le maître brasseur. Au total, 22 bières Lemke sont proposées, dont la vraie Berliner Weisse, différentes IPA ou des stouts. Côté table, l’endroit vaut aussi le détour pour la qualité de ses viandes. On y mange sur des tables conviviales partagées avec les autres clients (et ils sont nombreux) de l’endroit. Mieux vaut réserver.
Biermeisterei Lemke
Happa
Résolument responsable, ce restaurant limite au maximum les restes et déchets alimentaires. Il propose une cuisine bio et végétalienne (ses sandwiches et salades sont remarquables) servie au milieu d’une salle présentant (actuellement) des portraits de femmes africaines d’exception.
Happa
Fösters
Ce restaurant situé à Prenzlauer Berg est résolument végétalien. Aucun produit d’origine animale n’y est proposé. Försters propose des plats typiquement allemands comme les Königsberger Klopse ou les aubergines Sahne Matjes revus à la manière végétalienne. Surprenant et délicieux. Mention spéciale pour les desserts.
Försters
Anna und Paul
Contrairement à ce que l’on pourrait penser Anna et Paul ne travaille pas dans ce restaurant. Ils sont bien trop jeunes pour ça. En fait, ce sont les deux très jeunes enfants du couple qui a ouvert cette adresse cosy. Les plats, européens, sont délicieux et le service très agréable. Le cadre est particulièrement réussi. Possibilité de manger en terrasse en été.
Anna und Paul
A noter
Holtzmarkt, littéralement le marché au bois est une oasis urbaine en plein cœur de Berlin. Depuis une trentaine d’années s’y côtoient jeunes et vieux, étudiant ou retraité, fêtard ou yogi. On y trouve des bars (Holzmarkperle ou Weinhandlung) pour acheter un verre avant d’aller rêver en bord de Sprée, des restaurants, des kiosques, une boulangerie, une aire de jeux, une garderie pour les plus jeunes enfants, un studio d’enregistrement, une Kita et une salle de concerts. Sans oublier le club mythique Kater Brau pour danser du vendredi au lundi midi.
Comment se déplacer ?
Circuler à Berlin est extrêmement simple du fait de son vaste réseau de métros (U-Bahn), RER (S-Bahn) , tramways, bus et train. C’est aussi extrêmement peu coûteux en prenant la Berlin Welcome Card (26 €) qui donne un accès illimité aux transports publics et des réductions allant jusqu’à 50% dans plus de 190 musées et attractions de Berlin. Attention cependant côté train : la Deusche Bahn n’est pas très fiable. Ne pas hésiter à partir très en avance pour se rendre à l’aéroport sous peine de rater son vol.
Où loger ?
Berlin ne comporte pas à proprement parlé de « centre ville ». En fait, il y en a plusieurs. Parmi eux, le quartier d’Alexanderplatz, dans l’ancien Berlin-est, est extrêmement vivant. Le lieu idéal pour sortir et pour accéder à l’ensemble de Berlin et du Brandebourg grâce à sa gare ferroviaire. D’où le choix de l’hôtel Leonardo Royal. Ce quatre étoiles, installés dans un ancien hôtel communiste, est desservi par plusieurs lignes de tram. Il présente un excellent rapport qualité-prix avec des chambres en dessous des 100 € la nuit. Mention spéciale pour son buffet de petit-déjeuner. L’hôtel comprend également onze salles de réunion.
Infos pratiques
Office Nationale Allemand du Tourisme
8, rue Milan
7509 Paris
01 40 20 01 88
Photos Frédéric Cheutin
Photo d’ouverture : Longtemps à l’abandon, les rives de la Sprée voient désormais cohabiter immeubles de luxe et espaces verts où le développement durable et la vie communautaire restent la règle.
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