Pointe de Penmarc’h, marque premium de conserves de produits de la mer, présente une nouvelle collection colorée de trois boîtes de sardines millésimées 2024.

Cette collection, hommage au centenaire de la grève des sardinières en 1924, met en lumière la lutte des femmes dans les usines mais aussi des marins engagés dans ce mouvement. Produites en série limitée, elles sont illustrées par deux artistes basées en Bretagne : Anh Gloux et Flore Betty.

1924, année de la grève des sardinières

En novembre 1924, à Douarnenez, les ouvrières des usines de conserves de poissons se mobilisent massivement, déclenchant une grève quasi générale. Majoritairement épouses ou veuves de marins, elles travaillent, jour et nuit, suivant les arrivages de pêche, pour laver et emboîter les sardines. Lors de la grève, près de 2000 femmes, coiffées, en tablier et sabots, demandent une augmentation de salaire.

Baptisées les Penn Sardin (tête de sardine en Breton), ces Bretonnes de Douarnenez sont reconnues pour leur travail artisanal et soigné dans la mise en boîte des sardines. Celles de Pointe de Penmarc’h perpétuent la tradition d’emboîtage à la main pour préserver la chair des sardines.

Les sardines millésimées : le goût raffiné de la patience

Les plus épicuriens savent qu’au-delà de trois à cinq ans, les sardines millésimées Pointe de Penmarc’h seront un petit bijou gastronomique. Les sardines vont confire et développer des arômes affinés. Mais, il faut penser à retourner la boîte tous les six mois pour que les sardines continuent de baigner dans leur huile et puissent se bonifier, comme le ferait le meilleur cru d’un excellent vin.

Les façons de les déguster sont tout aussi nombreuses : en picorant directement dans la boîte,  posées sur des toasts à l’apéro ou en entrée, ou sur une tranche de bon pain frais et du beurre demi-sel. Les sardines sont des trésors nutritionnels. Riches en calcium, elles contribuent à un métabolisme énergétique normal et à une fonction musculaire normale. Elles favorisent, grâce à leur richesse en omega-3, le bon fonctionnement du cerveau. Enfin, remplies de vitamine D, elles participent au bon fonctionnement du système immunitaire.

La Bretagne, une source d’inspiration pour ces artistes

Artiste bretonne de Concarneau, Anh Gloux est reconnue pour ses œuvres inspirées par les traditions et les paysages bretons. Son atelier, bien nommé “Aux Quat’Sardines”, reflète l’âme maritime et artistique de son univers. À travers ses illustrations, elle réinvente les codes de l’art populaire local. Notamment en revisitant les costumes traditionnels et les motifs marins. 

Flore Betty, quant à elle, est installée à Douarnenez dans le Finistère. Son univers des années 1920 se reflète dans ses œuvres adoptant une technique originale : assemblage de coupures de journaux, partitions musicales et autres documents d’époque collés puis peints. Cette artiste peintre réalise de nombreux portraits de personnages bretons reflétant son intérêt pour la culture locale.

Pointe de Penmarc’h
Sardines à l’ancienne millésime 2024 (boîte de 115g), édition limitée, 4,90 euros la boîte.
En vente sur le site www.pointedepenmarch.com, dans les boutiques La Maison de la Sardine et en épicerie fine. 

Photos Isabelle Decaux

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