Les Charentes ont de multiples atouts. De la respiration et une douceur de vivre aux lumières de la côte ouest. Parmi les incontournables, il en est un qui fait l’unanimité des familles. Une éternelle source de fascination et d’émotions. Nous parlons du zoo de La Palmyre situé à 40 kilomètres de La Rochelle et quelques dunes de Royans. Nous avons eu la chance d’y passer une demi-journée, alors qu’il était encore fermé au public. C’était en mai dernier à l’heure des restrictions sanitaires.
Situé au cœur d’une forêt de pins de 18 hectares, le zoo allait rouvrir ses portes quelques jours plus tard. En attendant, les allées étaient vides et les animaux nous regardaient avec beaucoup de curiosité.
Le Zoo de La Palmyre, une histoire de famille
En premier, quelques explications. Ce zoo correspond à une belle histoire de famille. Il a été créé en 1966 par Claude Caillé. Jeune marié, il est venu aider son beau-frère qui possédait un petit parc zoologique près de Limoge. Il a découvert un monde qu’il ne connaissait pas et s’est aussitôt passionné pour les animaux. Claude avait trouvé sa voie. Lui aussi créerait son zoo ! Il a commencé, avec sa femme, par un zoo ambulant qu’il présentait dans les écoles. Avec leurs deux petits garçons, Patrick et Bruno, ils ont sillonné les routes de France. Après plusieurs séjours en Afrique pour ramener des animaux Claude Caillé s’installe enfin. Il a trouvé l’endroit idéal au cœur d’une forêt de pins, à Mathes, qui deviendra la station balnéaire La Palmyre.
Près de 700 000 visiteurs par an
Sur 3 hectares de terrain, Claude et son épouse effectuent les travaux nécessaires pour construire le zoo. Ils ouvrent les portes du zoo en juin 1966 avec 160 animaux. C’est un succès immédiat. Fin août, 129 500 visiteurs étaient déjà venus pour découvrir le zoo. Pendant des années, Claude et sa femme travaillent du matin au soir pour faire vivre le zoo. Petit à petit celui-ci s’agrandit. Il accueille de plus en plus de pensionnaires. Leurs fils ont pris leur suite, puis leurs petits-enfants. Aujourd’hui le zoo de La Palmyre compte 1 600 pensionnaires de 110 espèces animales. Il reçoit près de 700 000 visiteurs par an. Chaque année il enregistre au moins 200 naissances. Une soixantaine de personnes y travaillent à l’année et autant de saisonniers. C’est un des parcs zoologiques privé les plus visités de France.
Un parc pédagogique
Le zoo de La Palmyre est un lieu magique qui nous embarque hors du temps. Les animaux vivent à leur rythme. Les 40 soigneurs sont au petit soin pour eux. Dès notre arrivée, nous sommes accueillis par les 300 flamants roses de Cuba, peu discrets, au pied d’un immense rocher. Ils savent se faire entendre ! La balade commence bien. Le parc est parfaitement balisé, signalé, expliqué. Devant chaque espèce une fiche d’information est présentée sur un panneau. On y apprend l’origine de l’animal, ses caractéristiques. Des explications sur son habitat, sa nourriture, la situation de l’espèce… Des informations très pédagogiques qui peuvent être utiles pour en savoir plus sur un animal particulier.
Visite du Zoo
Girafe gourmande
La visite démarre par la rencontre avec une belle et grande girafe. Comme le chemin est en hauteur nous pouvons la regarder dans les yeux. Elle est visiblement très gourmande et nous l’approvisionnons de feuilles d’acacia… Elle adore et tire la langue pour se faire comprendre ! Deux autres girafes, plus petites, arrivent, mais elle ne veut rien leur laisser…
Le tigre, un chasseur redoutable
À quelques pas de là, nous découvrons un tigre. Il tourne en rond et ne nous regarde même pas. Visiblement les visiteurs ne l’intéressent pas. En voyant ses crocs, on est assez heureux d’être protégés par une épaisse baie vitrée. C’est un chasseur redoutable dans son milieu naturel. Ce seigneur de la jungle est malheureusement une des espèces de carnivores la plus menacée. Pendant des décennies il a été chassé, tué. Notamment en Inde où les chasseurs européens et les maharajahs faisaient de leur chasse un « sport » national…
Le jaguar aux aguets
Face à son vaste enclos, nous apercevons, lové contre un rocher, un superbe jaguar. Il se repose mais garde l’œil ouvert en nous entendant arriver. Il reste aux aguets ! D’origine américaine, ce coureur très rapide peut nager, grimper dans les arbres. Il peut aussi tuer une proie d’un bond et d’un coup de mâchoire grâce à ses canines particulièrement affûtées !
Les loutres, attendrissantes
Après un petit coucou aux manchots du Cap, nous passons devant les loutres d’Asie. Collées les unes contre les autres sur leur reposoir, elles nous regardent avec curiosité. Elles sont très attendrissantes et laissent voir leurs pieds palmés. La loutre vit dans les rivières et les lacs et se nourrit de crabes et crustacés. C’est une espèce qui vit en eau douce, mais il y a aussi une loutre de mer. Celle-ci est capable d’utiliser un galet pour briser un coquillage trop résistant. Cela en fait une des rares espèces animales à se servir d’outils pour se nourrir.
Les otaries se donnent en spectacle
Leurs voisines, les otaries de Californie, profitent, elles, d’un immense bassin-piscine. Lorsque le public est présent, elles présentent un spectacle. Plongeons, sauts… Elles s’amusent, jouent au ballon, sautent dans les cerceaux. Elles se sont entraînées tout l’hiver et mettent en lumière leurs capacités naturelles. C’est au zoo de La Palmyre qu’a eu lieu la première naissance d’otarie dans un parc français. Le petit ne se jette à l’eau qu’au bout d’un mois, sous l’œil protecteur de sa mère. Elle lui apprend à nager. Les otaries ont été énormément chassées au XIXe et au début du XXe siècles pour leur fourrure, leur graisse et leur viande. Elles sont aujourd’hui protégées ce qui leur permet de se reconstituer. Malheureusement, elles sont aussi victimes de la pollution et des déchets marins.
Les makis catta, adorateurs du soleil
Nous poursuivons la visite en passant rapidement devant les lémuriens appelés Makis Catta. On les surnomme aussi les “adorateurs du soleil”. Ils ont en effet l’habitude de s’asseoir face au soleil, les bras ouverts. Ces primates sont originaires de Madagascar. Ils sont menacés car la forêt disparaît au fur et à mesure des différents incendies. Les habitants de l’île allument les feux pour pouvoir disposer de terre et les cultiver. Nous entendons un rugissement à faire frémir… Le roi de la jungle nous a entendus.
Le roi de la jungle en couple
Nous faisons connaissance avec Masaï, un jeune et magnifique lion de 5 ans. Cela fait seulement trois semaines qu’il vit au parc. Ce lion, ramené en France par un particulier en 2016, a été saisi, à l’âge de 8 mois, par les autorités. Elles l’ont confié à l’association Tonga, qui recueille les animaux sauvages confisqués. Masai a donc rejoint Shenna à La Palmyre, une femelle de 12 ans, qui vivait seule. Le précédent mâle est mort de vieillesse. Nous admirons ces splendides animaux, tous deux allongés, tranquilles… Quand Shenna quitte soudain son promontoire pour tourner autour de son compagnon. Rugissement du mâle, coups de tête collés serrés. Masaï comprend le message… Il se lève et s’accouple avec sa belle et nouvelle amie. Tout cela n’a duré qu’une minute. La reproduction des lions n’étant pas une des vocations du zoo (il en a d’autres), il n’y aura pas de futur lionceau…
Les loups, à la queue leu leu
Les rugissements ont laissé indifférents les flamants roses du Chili et les petits fennecs aux grandes oreilles. Zone importante, nous entrons dans l’espace loup. Les enfants le craignent et il occupe une place importante dans leur imaginaire. Il est souvent apparu dans la littérature, notamment sous la plume de Perraut, La Fontaine, de Jack London et d’autres. Dans leur vaste enclos, plusieurs loups de Mackenzie tournent ou se reposent. Ils sont beaux, noirs ou blancs. Originaires du nord des États-Unis et du Canada, ces loups bénéficient du statut d’espèces protégées. Ils continuent pourtant à être considérés comme nuisibles dans certains territoires. Nous sommes heureux d’entendre l’un d’eux hurler. Notre guide nous explique que les loups vivant en meute, se déplacent en file indienne. C’est de là que vient l’expression : « Marcher à queue leu leu » !
Les suricates, de fins observateurs
Maintenant on nous observe. Nous entrons sur le territoire des suricates, originaires d’Afrique. Ces petits carnivores sont plutôt sympas. Si on se pose pour les regarder on peut observer combien ils sont organisés. Ils grattent fiévreusement la terre, à la recherche d’insectes ou autres petits vertébrés. Mais pendant qu’ils grattent, l’un d’entre eux nous regarde et surveille. Il est assis sur ses pattes de derrière, bien calé sur la queue et pousse des petits cris régulièrement. C’est pour rassurer ses camarades ou les avertir du moindre danger. Il paraît que lorsqu’un suricate aide un autre suricate, celui-ci lui rendra la pareille à une autre occasion. Ils ont le sens de la réciprocité !
Il a de beaux yeux le lémur !
Le Zoo présente une trentaine d’espèces différentes de primates. Moment de tendresse en passant devant le lémur aux yeux turquoise. Accroché à la grille il nous regarde de ses grands yeux bleus. C’est le seul primate non humain à avoir cette caractéristique. Chez les Lémurs aux yeux turquoise, la femelle domine socialement. Même si les mâles sont supérieurs en nombre, c’est elle qui choisit la nourriture en premier. C’est encore elle qui choisit son partenaire. C’est une espèce très rare originaire de Madagascar. Elle est considérée comme sacrée par la population, mais cela ne l’empêche pas d’être en danger critique d’extinction. Le zoo de La Palmyre finance chaque année une association qui œuvre pour sa protection et sa conservation. Un programme d’élevage international en parc zoologique a été lancé pour étudier le comportement des animaux. Il permet surtout d’agir pour la sauvegarde de l’espèce.
Les pandas roux ou renards de feu…
Autre moment de tendresse en levant le nez et en apercevant deux petits pandas roux. Ils sont vraiment adorables avec leur petite bouille rousse et blanche. On les appelle aussi les renards de feu à cause de la couleur de leur fourrure. Ils évoluent dans les forêts de l’Himalaya, entre 1 500 et 4 800 mètres. Ce mangeur de pousses bambous, de végétaux et de fruits, vit dans les arbres. Pour dormir, il se roule en boule comme les chats. Sa reproduction est saisonnière et les bébés naissent généralement dans le courant du mois de juin. Le panda roux est peu chassé par les Népalais. Mais les Chinois apprécient les poils de sa queue avec lesquels ils fabriquent des pinceaux… Le panda roux est classé vulnérable sur la liste rouge des espèces menacées. Plusieurs naissances ont eu lieu au zoo de La Palmyre.
Joyeux mandrills
La visite du zoo est captivante et nous passerions volontiers des heures à observer les animaux. Nous sommes maintenant dans l’espace des singes Mandrills. Ils grimpent, ils sautent, jouent. Ils sont remarquables par leurs couleurs. Nous avons la chance de voir une femelle et son attendrissant bébé. Pelotonné dans ses bras, il tète. Les Mandrill vivent en groupes, rassemblés en plusieurs femelles, plusieurs petits et un seul mâle. Ce primate est originaire d’Afrique de l’Ouest, mais comme on s’y attend, il est lui aussi en danger. Le nombre de mandrills a considérablement chuté car ils sont victimes de la destruction de leur habitat. Le braconnage est important d’autant plus qu’on les trouve facilement à cause de leurs bruyants grognements.
Ça, c’est du lourd !
Les hippopotames, les rhinocéros bancs, les éléphants trouvent bien sûr place au zoo de La Palmyre. Et nous ne pouvons pas les manquer… Si les premiers sont classés vulnérables, les seconds sont quasi menacés. La recrudescence du braconnage laisse entrevoir un sombre avenir. Sa corne est convoitée pour la fabrique de manches de poignards ou d’imaginaires vertus dans la pharmacopée chinoise. Les rhinocéros blancs vivent bien au zoo et se reproduisent même ! Dans leur enclos nous apercevons des Oryx avec leurs longues cornes… La cohabitation est sans problème. Plus loin, des éléphants d’Asie, trois femelles et un mâle arrivé en 2018 du zoo de Copenhague se jettent du sable avec leur trompe. Le zoo de La Palmyre participe à leur protection dans la nature en soutenant le programme Hutan. Celui-ci se consacre à la protection des orangs-outans, des éléphants et autres espèces menacées de l’île de Bornéo.
L’autruche n’est pas contente
Le circuit se poursuit, nous passons devant les superbes ibis rouges, les zèbres de grévy, les bisons d’Amérique, les impalas. Une autruche vient nous narguer. Visiblement on la dérange et elle le fait savoir. Elle fait son cirque et nous fait bien rire. Plus loin des kangourous roux sautillent.
Les pélicans au grand bec
De grands oiseaux nous survolent curieusement, des grues peut-être… Les cigognes sont sur leur perchoir. Nous sommes à deux pas des pélicans. Ce sont les plus gros oiseaux capables de voler. Ils possèdent une poche de peau élastique sous leur bec qui leur permet de stocker leurs prises. Eau, poissons… Ils sont plusieurs au zoo de La Palmyre, superbes avec leurs couleurs oranger et vert.
Le gibbon en mode surveillance
Un gibbon mains blanches, assis au sommet de son perchoir, mange un fruit. On dirait qu’il fait le guet. Puis il se lève et se balance rapidement avec ses longs bras sur le portique construit pour lui. Ces animaux originaires d’Asie sont menacés. Le zoo de La Palmyre soutient le programme Huro qui cherche à préserver une espace rare, le gibbon Hoolock de l’Ouest.
Dans l’espace des grands singes
Nous arrivons dans l’espace des grands singes qui s’étale sur trois hectares. Il a été inauguré en avril 2009 après deux ans et demi de travaux. Aux beaux jours, quatre grandes îles permettent d’observer les animaux en extérieur. L’hiver les singes évoluent dans de grandes volières chauffées et équipées, séparées par des rochers. Les visiteurs peuvent les observer à travers de larges baies vitrées de 40 mm d’épaisseur. Réservez du temps pour les découvrir. Vous ne vous lasserez pas !
Chimpanzés, orangs-outans…
L’espace des grands singes héberge deux groupes de 6 chimpanzés, 4 orangs-outans et 4 gorilles. Les chimpanzés sont loin de nous. Ils ont dû perdre l’habitude de voir du public. Les orangs-outans de Bornéo, eux sont indifférents à notre présence. Le patriarche, assis en hauteur, bras croisé, rêvasse. En bas, une femelle joue avec ses deux petits. Le plus grand se cache avec une toile. L’autre, âgé de quelques mois seulement, s’agrippe à un des bras de sa mère et ne veut pas le lâcher. L’orang-outan originaire de Malaisie et Indonésie, est en danger critique. À cause de la déforestation pour l’exploitation du bois et de l’huile de palme et du commerce illégal. Il en reste moins de 50 000 dans la nature.
Gorilles dans le parc
Moment d’émotion en découvrant les gorilles des plaines de l’Ouest. Le roi des primates. Le plus grand, le plus fort, le plus beau. Le mâle est impressionnant. Plusieurs femelles jouent autour de lui. Les gorilles, loin de l’image véhiculée par le cinéma, sont des animaux timides et pacifiques. Ce sont les êtres vivants les plus proches de l’homme, après le bonobo et le chimpanzé. Un soigneur arrive et jette quelques fruits dans leur enclos. Tranquillement tous se penchent pour essayer de récupérer leur part. Pas de dispute. Chaque nuit, les gorilles dorment dans un nid qu’ils confectionnent avec des feuillages. Jamais deux fois dans le même lit ! Originaires d’Afrique centrale, ils sont malheureusement en grand danger car chassés pour leur viande ou le commerce illégal. Le zoo soutient quatre programmes de protection de l’espèce.
La parade amoureuse du paon
Notre visite se termine par un spectacle haut en couleur. La parade nuptiale d’un paon. Une femelle lui tourne autour et celui-ci déploie largement ses plumes en éventail. Il a l’air de danser en faisant bouger ses plumes, comme pour leur donner plus de lumière et de couleurs. Magnifique, il veut la séduire en paradant ! Ils sont face à face, lui plein d’espoir, elle hésitante. Finalement la paonne lui tournera le dos et s’en ira picorer plus loin, totalement indifférente. Le paon crie (très bruyamment), mais rien n’y fait. Ça sera pour une autre fois !
D’autres découvertes à faire
Nous n’avons pas vu tous les animaux. Notamment l’espace envoûtant des reptiles, avec tortues, crocodile, serpents. Ni le Nocturama, qui permet de découvrir plus de 300 chauves-souris. L’ours blanc devait être en sommeil quand nous sommes passés. Et les guépards aussi. En 30 ans, plus de 100 guépards sont nés au zoo de La Palmyre. Entre la Pâques et la Toussaint, un spectacle de perroquets est présenté. Des aras, des cacatoès à huppe jaune, des amazones viennent surprendre les visiteurs…
Il faut le savoir
Parcs zoologiques : une mission fondamentale pour la préservation des espèces
Il faut retenir que les parcs zoologiques ont une mission fondamentale, celle de la préservation des espèces. Aujourd’hui dans le monde, un oiseau sur 8, un mammifère sur 4, un amphibien sur 3 sont menacés de disparition. L’homme fragilise les espaces naturels. Des programmes d’élevage internationaux (EEP) facilitent la reproduction des espèces les plus menacées. Des échanges sont réalisés entre les différents parcs zoologiques pour éviter les problèmes de consanguinité. Les espèces n’ont plus de valeur marchande. Les transferts d’animaux entre parcs sont des prêts d’élevage, d’échanges ou de dons. Le zoo de La Palmyre participe à plus de 50 programmes d’élevage.
Sauver les grands singes
Le Zoo de La Palmyre s’est ainsi engagé depuis de nombreuses années dans la préservation des grands singes en Asie et en Afrique. Il soutient notamment le programme HUTAN à Bornéo pour la protection des orangs-outans. Le Zoo de La Palmyre s’est engagé en Afrique où la situation des grands singes est inquiétante. Il finance ainsi des programmes de conservation des chimpanzés et des Gorilles.
Infos +
Le zoo de La Palmyre est ouvert tous les jours de l’année. Horaires : de 9 heures à 19 heures, du 1er avril au 30 septembre et de 9 heures à 18 heures le reste de l’année.
Durée moyenne de la visite : 4 heures
Le parc est accessible aux handicapés. Il compte quelques dénivelés importants.
Tarifs individuels : Adulte = 19 €. Enfant de 3 à 12 ans = 15 €. Gratuit pour les enfants de moins de 3 ans. 3 € de moins pour les personnes en situation de handicap.
Des cartes d’abonnement à l’année sont disponibles (57 € pour les adultes – 45 € pour les enfants de 3 à 12 ans). Les chiens ne sont pas admis.
Site : www.zoo-palmyre.fr/
Photos © Caroline Paux
Merci à Florence Perroux, responsable conservation et pédagogie du zoo de la Palmyrepour son accueil. Elle nous a fait découvrir un merveilleux zoo et partager son amour pour les animaux et surtout les gorilles. Merci aussi à Jennifer Jean (responsable de Silfra Communication) et à Infiniment Charentes pour la qualité de leur programme de découvertes en Charentes.
www.infiniment-charentes.com
Découvrez deux incontournables des Charentes :
“Charentes : jetez l’ancre à La Rochelle” : https://dynamic-seniors.eu/la-rochelle-charente-maritime/
“Charentes : tour du monde sous la mer à l’Aquarium de La Rochelle” : https://dynamic-seniors.eu/laquarium-de-la-rochelle-en-charentes/
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